Artiste vitrailliste à la base, je suis devenue « collagiste » à la fin des années 90. Totalement autodidacte, j’ai travaillé longtemps sans penser à « montrer » mes collages, puis mon amateurisme m’a servi de tremplin, le fait d’être « amateur » est libératoire, c’est un moyen de ne pas être « académique ». Cela m’évite les conventions.
Je créée une image à partir d’autres images. J’aime harmoniser les couleurs et les formes. Ainsi que l’idée qu’avec de simples images sorties de leurs contextes, je peux faire une critique, un constat, une émotion, un ressenti sur l’idée que j’ai de la société
